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![]() Le cul d'enfer Edition 2007 - par Pascal_L le 29/08/2007 @ 23:26 Course : Le Cul de l’enfer Mondeville (91) Distance : 21Km Date 26/08/07 Les Résultats : 21.1Km Meilleurs temps : (Homme : 1.26.07 Femme : 1.46.24) Nom Temps Class/Total Class/catégorie Willy .V 1.44.53 67/529 36 Hors GAG Roland.C 1.53.32 148/529 55 Pascal.L 2.09.45 302/529 123 Alors que certains de nos camarades en finissent avec leurs exploits sur l’UTBM (Bravo !!!) , je prends avec Roland le chemin du cul d’enfer. Sur place on retrouve Yvon avec son Elan sur le dos (pas facile de courir dans ces conditions…). Conditions de course : L’été est enfin là quelle chance nous avons. La température va vite monter. Les conditions sont donc très bonnes. L’organisation : Très bien rodée, pour cette grande classique des courses vertes. Point de départ bien connu à Mondeville puisqu’il s’agit de celui des Carrières et du Trail 91. Petite info glanée dans la zone de départ, pas de relais par équipe cette année pour le trail 91 car trop de soucis avec les " râleurs " et les " tricheurs ". C’est bien dommage ! ! Le parcours : Un parcours très agréable avec quatre difficultés principales dont le cul d’enfer bien sûr célèbre pour ses illustrations et la côte des italiens très pentue. Le parcours forme une grande boucle avec une portion commune départ et arrivée. Vu le bel été c’est la patinoire dans quelques portions en sous-bois, accrochez vous aux branches sinon c’est la baignade dans la boue. La course : Gros peloton dans la zone de départ puisque nous sommes plus de 500 coureurs. 9h30 le départ est donné. Je pars sur un rythme très prudent, Yvon et Roland sont devant, il y a de la compétition dans l’air entre le GAG et l’Elan. Arrivé au Km 2 opération patinage en sous bois, on est bien sur une course verte ! ! Je continue avec prudence les sensations ne sont pas au rendez-vous. Que c’est dur la reprise ! ! La course va se poursuivre ainsi tout au long du parcours. Les derniers kilomètres vont même être difficile pas de possibilité d’augmenter l’allure, je vais donc finir à la peine. Dans le dernier kilomètre j’aperçois Yvon qui encourage les coureurs, il a renoncé à terminer la course, la forme n’était pas au rendez-vous, ce sera donc pour une autre fois. J’en termine péniblement après 2h10 de course Une fois la ligne franchie c’est l’occasion de pouvoir se restaurer un peu et d’échanger quelques mots avec quelques habitués. Même si la performance n’est pas au rendez-vous, je suis heureux d’avoir pu participer à cette course bien sympa, il ne reste plus qu’à se remettre au travail ! ! ! Mont Blanc ( 2 ème tentative ) - par BernardB le 17/08/2007 @ 21:20 MONT BLANC ( 2 ième tentative) Après l’Ardéchois, l’ascension du Mont-Blanc représente le second objectif de la saison. Yves, deux de ses amis et moi-même tentons l’aventure du 30 juin au 5 juillet 2007. Arrivée à CHAMONIX sous un beau soleil, température estivale et rendez-vous le samedi avec le guide pour vérification du matériel et planning de la semaine. Nous avons le même guide (ami de Yves et originaire de Chevreuse) que lors de la première fois. Pour une bonne acclimatation, nous passons deux nuits en refuge à 3180 m en Suisse, puis retour Chamonix et Mont-Blanc selon la météo. Départ donc dimanche matin 8 h 00 de CHAMONIX en direction de CHAMPEIX. Nous retrouvons et accompagnons sur quelques kilomètres les concurrents du Marathon du Mont-Blanc que certains ont fait l’an dernier. A CHAMPEIX, nous prenons un télésiège puis démarrons nos 800 m de dénivelés pour rejoindre le refuge du Trient et le glacier du Trient qui sera notre terrain d’exercices demain. La météo étant moyenne, annonce d’orages dans l’après-midi, nous ne devons pas trop trainer pour cette mise en jambes. Durant l’ascension, le temps se gâte et attrapons la pluie peu avant notre arrivée au refuge à 17 h. Bien au frais dans le refuge, nous avons droit à un bel orage, de forts coups de tonnerre, nombreux éclairs, grosse pluie, de la grêle et pour finir l’heure du diner la Neige ! Beau refuge, agrandi récemment, couette, température fraiche car pas de feu. Originalité pour les WC : ils sont écologiques, sans eau, sans odeur : recyclage naturel par un système de tapis et élimination des déjections par des vers (fabrication française : cocorico !!!!). A l’heure du coucher il tombe toujours de la neige… du coup grasse matinée pour lundi, lever à 7 h, mais il neige toujours. Il est bien tombé 25-30 cm de neige. Report à l’après-midi des exercices prévus, en attendant lecture, discussion avec les autres montagnards, dont un couple de jeunes canadiens qui font un tour d’Europe, ou poursuite de la nuit. Enfin, vers 14 h, arrêt de la neige et un pâle soleil apparait nous pouvons enfin sortir pour faire nos exercices de cramponage jusqu’au diner. La météo n’étant toujours pas terrible, le guide nous invite à un départ à 5 h pour mardi pour faire l’Aiguille de la Tour à 3567 m. Comme prévu, nous partons tôt et profitons d’un magnifique lever de soleil. Nous atteignons le sommet sans trop de difficultés, l’acclimatation se fait bien. Un peu de rochers au sommet, mais pas de difficulté particulière, nous redescendons tranquillement et profitons au maximum de ces points de vue sur la chaine des Cervins et autres sommets. Nous croisons deux cordées qui font Chamonix-Zermatt (pour les intéressés une semaine de rando-crampons en été, en ski rando l’hiver). Nous passons devant le refuge et poursuivons notre descente sur CHAMONIX, et nous faisons rattraper par la pluie. Heureusement, de sera de courte durée. Fin d’après-midi à CHAMONIX, renseignements météo ( donc hélas pas de Mont-Blanc), mais de l’autre côté du massif, dans la vallée d’Aoste le temps devrait être correct. Décision rapide du guide qui nous trouve des places au refuge Victor Emmmanuel (2735 m), en vue de faire le Grand Paradis à 4061 m. Mercredi grasse matinée, accueillons le second guide (deux par cordée pour raison de sécurité), et partons vers Courmayeur (c’est un nom qui va rappeler des souvenirs aux vaillants GAGMAN et GAGWOOMEN de l’UMTB) puis ascension vers le refuge. Là, un monde fou (because météo), le refuge est complet, deux services pour diner, un franc bazar mais petite chambre de quatre bien sympa et de l’eau pour la toilette (au précédent refuge nous n’avions pas d’eau à cause de la température trop basse). Jeudi matin, départ 5 h pour le Paradis. Nous sommes nombreux (une dizaine de cordées), c’est la première fois que je vois cela et je trouve étonnant qu’autant de personnes se lèvent si tôt pour un sommet. Mais en fait, quand on fait nos trails c’est identique, chaque spécialité a ses « fous ». Beau spectacle au départ sur ce grand glacier, malheureusement rapidement le ciel s’assombrit ne laissant passer que quelques rayons de soleil ; des petites chenilles réparties sur le glacier avancent avec plus ou moins de difficultés, au-delà de 3500 m on commence à sentir les effets de l’altitude. Avec Yves sur la même cordée, nous trouvons que le guide avance un peu lentement, nous nous sentons bien,( toutefois nous ne faisons aucun commentaire). En fait le guide avait raison de maintenir une allure facile car les 300 derniers mètres de dénivelés sont beaucoup plus difficiles à négocier, d’une part en raison de l’altitude et d’autre part en raison du changement de pente qui se raidit notablement. A ce moment, nous apprécions d’avoir encore du jus. Le final est constitué de rochers et la tradition veut que nous allions toucher une statue de la Vierge au sommet. La partie rocher est un peu difficile : je n’ai pas l’habitude de cet exercice, il ne faut pas louper les appuis (heureusement que nous sommes encordés fortement), et il y a trop de monde, se croiser quand on a juste la place de poser ses pieds est difficile. A priori, certaines cordées sont amateurs, sans guide, croisent leur corde… bref, après un bon quart d’heure nous sommes toujours à 4/5 m de la Vierge quand nous prenons la décision de faire demi-tour (tant pis pour la tradition, sécurité avant tout). Dommage pour le coup d’œil, la moitié de la montée s’est effectuée dans les nuages et au sommet pas grand-chose à voir . Cela ne fait rien, je très content d’avoir réalisé ce premier 4000 m : pas de mal des montagnes, pas de problème physique. Ensuite descente longue, très longue : 2145 m de descente, afin de rejoindre la voiture. C’est ma première vraie expérience de haute montagne que je renouvellerai dès que possible. Nous sommes dans une autre dimension, un autre monde, c’est la nature qui s’impose à nous, nous devons être d’une grande humilité. Les paysages sont magnifiques et les contacts avec les montagnards très enrichissants, loin de nos préoccupations habituelles. Le retour à la réalité est difficile.
COURSE: Trail DES MOULINS Mondeville (91) Date: samedi 07 juillet 2007 Distance : 45,5 km D+ 830 m Compte rendu de DIDIER H. & PASCALE G. Départ 14h Inscription : 30euros ,40 le jour même2 ravitaillements en eau à 14km et 31km ( ?)et un ravitaillement solide au château de Courance à 22,8 km. Environ 210 coureurs, dont 21 femmes, le parcours a dû être modifié une semaine avant le départ car certaines zones « sensibles » n’acceptent pas plus de 100 coureurs. Très bonne organisation et très bon balisage par rubalises, flèches au sol et pancartes dans les villages traversés.Ambiance sympathique et pour Pascale qui a eu le temps de discuter avec les nombreux bénévoles : ils sont très sympas. Temps idéal bien que lourd dans les premiers 15kms, le sol est sec , tant mieux car étant donné la météo des jours précédents nous craignions de la boue collante. Nous sommes arrivés Pascale, Jean Marie et moi-même largement en avance sur l’horaire prévu, bref de quoi bien nous préparer. Seulement 10 minutes avant le départ , on nous prévient que le départ est décalé de 15 minutes car des athlètes manquent à l’appel.Et qui voit-on arriver sur le départ, Michel, qui nous dit qu’il s’était aperçu 10 bornes avant Mondeville qu’il avait oublié ses chaussures. Alors je propose à Claudine (l’Ardéchois) et Michel d’acheter directement leurs chaussures au départ des courses, il y a toujours des vendeurs de matériel de courses. Ca leur évitera de se presser. Je plaisante car je ne suis pas un modèle en la matière.Bref revenons à cette course, car c’est plutôt une course qu’un trail. Les difficultés sont présentes, quelques côtes, des faux plats montants (j’ai appris l’expression au Gag) et des chemins avec de hautes herbes. Mais on court pratiquement tout le temps. Je dis bien pratiquement car à partir d’une certaine distance, je ne saurai pas dire combien de kms, on ne pense plus beaucoup si vous voyez ce que je veux dire, les jambes sont lourdes, très lourdes. Alors on finit à l’arrache.Ce qui me rassure un peu c’est que l’on avait tous très mal aux jambes au final. Et je ne vous raconte pas le lendemain, un treuil pour monter les escaliers.De son coté, Pascale, vue la forme et le peu d’entraînement après l’Ardéchois, avait décidé de faire la course jusqu’au ravitaillement à mi-chemin. Et elle y est arrivée sans aucun problème. De plus comme elle dit, elle est arrivée la première féminine (en voiture). Cela lui a permis de voir les premiers arrivants, paraît il qu’ils étaient frais comme des gardons, pas comme moi. Et en plus ils nous mettent une heure dans le mirettes. Voilà, ce n’est sûrement pas le plus beau trail, mais pour ceux qui préparent d’autres courses c’est peut être une étape. Didier -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ....... "le point de vue" de Pascale Me sentant reprendre « du poil de la bête » depuis une semaine, je décide de m’inscrire au Trail des moulins en prévenant à l’avance les organisateurs que je m’arrêterai au gros ravitaillement , soit au 22ième km. Ca faisait un peu cher du km mais l’envie était là alors…Arrivés à Mondeville avec Jean-Marie et Didier , je suis impressionnée par l’ambiance, j’ai l’impression qu’il y a beaucoup de « grosses pointures ».14h18 c’est le départ, ça part très très vite . Didier et Michel disparaissent vite, Jean-Marie reste quelques temps devant moi puis je le perds également. Au premier point d’eau le groupe est déjà très étiré. Je m’arrête pour boire abondamment car il fait très lourd . Puis je repars à mon rythme de croisière sachant que je m’arrêterai dans 8km. Une petite côte sur route puis bois et passage dans des villages avant le gros ravitaillement du 22ième km au château de Courance où je m’arrête à 16h56 à ma montre . Je suis contente d'avoir atteint mon but même si j'ai une très brêve hésitation quand je souhaite bonne course à la femme qui me suivait. Je ne suis pas fatiguée mais bien entendu je n'aurais pu aller plus loin ni plus vite. Nous discutons un bon moment avec les bénévoles puis ils me raccompagnent à Mondeville en compagnie de coureurs blessés. C'est comme ça que, fait unique dans ma carrière de gagwoman, j'ai le bonheur de voir arriver le premier, la première... Michel, Didier et jean Marie. Nous en encourageons encore de nombreux et quand nous quittons Mondeville vers 21h, tout le monde n'est pas encore arrivé. Bravo à toutes et tous qui ont parcouru ces 45,5 km. Pascale Résultats: Prénom Temps Cat. Place/ tot Place/ cat Willy V. 4.09.43 SM 16 7 hors GAG Michel M. 4.24.48 VM2 26 4 Didier H. 4.25.05 VM1 29 14 Jean Marie D. 5.54.31 VM1 146 67 Info : 1er homme : 3.26.02 VM1 1ère femme : 4.13.17 SF Trail de Rosny - par Roland C. le 01/07/2007 @ 15:30 Le dimanche 03/06/2007, environ un mois après l’ardéchois voici une course bien sympa à une heure de route de notre belle vallée Giffoise. Il s’agit de la 4em édition du trail du pays de Sully (ministre du roi Henry 4, celui de la poule au pot tous les dimanches) dans la superbe foret de Rosny sur Seine avec son parcours qui domine par endroits les boucles de Seine. Au programme 2 distances 17 Km et 42 Km, fort de notre entraînement pour l’ardéchois nous avions opté sans hésitation aucune pour le 42 KM que pour ma part je connais bien pour l’avoir couru déjà 2 fois. Nous avons pris le départ à 9h00 de justesse après avoir raté la sortie Rosny sur Seine et s’être engagés malencontreusement sur la section a péage de l’autoroute de l’ouest en direction de Rouen. Apres une semaine plutôt pourrie, on s’attendait au pire question météo (j’avais même investi dans la tenue anti-pluie chez endurance-shop), mais nous avons profité d’un temps superbe plutôt chaud mais très supportable compte tenu du parcours qui se fait en grande majorité en sous bois. La boucle de 42 KM se présente sur un parcours en sentier forestier agréable mais néanmoins sélectif avec 1000 mètres de dénivelé. Chaque année le nombre de participant se situe aux alentours de 150 personnes ce qui donne une ambiance course de clocher et fait aussi que l’on n’est pas au coude à coude dans les sentiers. On peut même apprécier des longues portions dans la foret sans entendre ni voir personne, mais gare au balisage pour les rêveurs.
![]() Le castor fou - par DidierD le 20/06/2007 @ 22:01 Les photos de la Galopée - par DidierD le 17/06/2007 @ 17:00 Les Carrières - par DidierD le 05/06/2007 @ 22:05 Bravo Roger et le dernier article en exemple - par DidierD le 17/05/2007 @ 22:18 Bravo à Roger , notre rédacteur en Chef qui écrit en direct sur le Web à lire - Les 12 heures de bures - l'Ardéchois GAG participatif - par RogerP le 17/05/2007 @ 21:34 Bon Didier, Premier contact engageant ... à suivre Roger |