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071117 - Marathon du Beaujolais
GAG Saison 2007- 2008 Ref. CRGAG171107-1 Compte rendu de PAULETTE P. Distance: 42.195 m Date:17 novembre 2007 RESULTATS: PRENOM CAT TEMPS PLACE/TOT PLACE/CAT PAULETTE P. VF3 4h 33' 44'' 975/ 1429 5/13 CONDITIONS DE COURSE: Temps: Beau, froid sec avec vent du nord. Parcours: Agréable, un peu vallonné (nous sommes dans les vignobles du beaujolais). Plusieurs arrêts dans les châteaux avec dégustation possible. Organisation:Très bien: circuit bien balisé, nombreux bénévoles, nombreux ravitaillements de qualité. Ambiance : festive, conviviale et décontractée. COMMENTAIRES: Ira, n'ira pas.. .Je ne me sens pas motivée , et en prime il y a la grève des trains. Finalement, ce pourrait être une bonne raison pour ne pas y aller... ![]() Les jours passent, l'heure « H » arrive. Sans conviction, je pars, en voiture. Est ce que "ma vieille dame" va me conduire à bon port ? Déjà, j'atteins l'autoroute sans embouteillage, puis je bénéficie d'une route idéale jusqu'à Villefranche-sur-saône où je retrouve Danièle comme prévu. Il fait très froid. Nous allons récupérer nos dossards, puis nous nous dirigeons chez des amis à Danièle qui sont aussi de marathon demain et chez qui nous sommes hébergées. Samedi 17, ça y est, nous y sommes. Tout le monde rejoint le départ, celui ci est donné à 10h30. Densité de coureurs un peu forte sur les premiers km qui curieusement me semblent défiler assez vite. Beaucoup de coureurs sont déguisés, l'ambiance bon enfant aide à entrer dans la course. Les kilomètres continuent à défiler, je me mettrais presque à y croire (il est temps !). La fraîcheur fait maintenant le bonheur des coureurs, nous sommes dans des conditions de course idéales (c'est moins idéal pour les bénévoles qui assurent cependant leur mission avec beaucoup de dévouement). Le trentième km arrive, je n'ose y croire...encore 12, c'est moins que nos entraînements du matin et je me sens plutôt bien dans la course. Les km continuent à progresser, mais voilà une méchante côte qui n'en fini pas. Les bénévoles nous encouragent: c'est la dernière côte, encore quelques mètres puis après ce n'est que de la descente puis du plat jusqu'à l'arrivée. C'était vrai et les derniers km sont bien passés. C'est bien la première fois que la balise d'arrivée m'est apparue « 'presque » plus vite que je ne l'attendais. ![]() En conclusion : bien déroutant ces marathons, avant le départ je jurais mes grands dieux que ce serait le dernier, aujourd'hui, je ne sais plus ! ![]() Paulette Date de création : 14/12/2007 @ 23:20 ![]()
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