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Date de création : 08/04/2008 @ 01:30
Dernière modification : 08/09/2008 @ 22:49
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Réaction n°1

par Pascale le 09/04/2008 @ 09:30

Roger , non seulement tu es là pour nous encourager au départ, toujours là pour immortaliser notre arrivée mais en plus tu as déjà fait le compte-rendu. Je rajouterai quand même mon petit grain de sel. L’inscription à Auffargis était faite depuis longtemps mais,malgré mon petit problème au genou et Christian M. qui me déconseille de courir, je n’avais pas réellement envie de céder mon dossard. Il est vrai que j’aime particulièrement ce parcours et que j’étais « trop » contente d’y aller avec les copines et copains du GAG. Seul regret, j’avais imaginé que Didier serait là et qu’on partagerait enfin une belle course chacun à notre rythme. (Didier ayant déclaré forfait, il a cédé son dossard à Pascal L. qui à son tour n’a pu participer pour cause de blessure; c’est donc Rodolphe qui a couru sous le nom de Didier). Nous voilà donc tous les 8 sous le portique où un jeune collègue du boulot que j’avais incité à venir, nous rejoint: Lionel T., sportif mais qui ne court jamais sauf après les demoiselles, a fait une très belle course, 2h09, il était ravi et a grande envie de revenir. Départ: je choisis de courir d’emblée bien au milieu du chemin, m’immergeant sans complexe dans la boue ; ceci par crainte, qu’en courant sur les côtés, je n’aie le genou en porte-à-faux, de toute façon, tôt ou tard, il faudra patauger dans la gadoue. Et … je te l’avoue Marianne, il est bien possible que j’aime ça, patauger. Parcours presque habituel, je cours avec Rodolphe puis le quitte, Lionel me rattrape, puis Patrick visiblement en très grande forme. Le genou tire un peu mais je n’ai pas franchement mal, je suis juste un peu crispée et aborde avec prudence les pierres et marches. Arrivée à la carrière, que je suppose être à la moitié du parcours, je regarde ma montre, 1h07 de course, c’est bon. Deuxième moitié du parcours les grosses côtes sont derrière nous mais reste les petites bosses cassantes.   Le plateau : magnifique point de vue sur l’abbaye. Je double une blonde « cristal-color » et son bonhomme qui la pousse dans toutes les côtes; plus tard, c’est elle qui me pousse pas très sympathiquement pour que je la laisse passer elle et son remorqueur. Je ne la rattraperai pas. De toute façon je ne « kiffe » que les blondes petites et grandes du GAG. La fin du parcours est différente des précédentes éditions (et de la version « Lucioles »), nous longeons une route puis un peu de chemin plat avant l’arrivée. Je finis les derniers 50m avec Didier qui est venu m’attendre, c’est très agréable. Puis Marylène, arrivent Rodolphe et Anne-Marie qui ont goûté un intermède ensemble… Claudine passe la ligne, nous allons l’accueillir avec Roger, mais le commentateur de la course se précipite sur elle et l’accapare à jamais. Heureusement Lysiane suit. Je suis contente d’être venue, cette course est décidément très belle, très sympathique et très boueuse. Nuit de dimanche à lundi : je ressens fortement mon genou, je n’aurais pas dû abuser de l’aspirateur et de la serpillière dimanche après-midi. Est-ce que je pourrais me présenter aux Drayes en Vercors dans de bonnes conditions ? Qui a dit que j’étais soucieuse ? Pascale G .

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