GAG saison 2008 - 2009 Ref.CRGAG061208-1
COURSE: La SAINTELYON (course de nuit)- Saint Etienne (42)
Distance: 69 km Date: 06/12/08
Compte rendu de CHRISTIAN M.
RESULTATS:
PRENOM CAT TEMPS PLACE/TOT PLACE/CAT
CHRISTIAN M. VM2 8 17 53 1435/ 3243 175/ 436
MURIEL Dodin Delvaux VF1 8 17 54 1436/ 3243 24/ 162
Informations complémentaires :
Premier Homme SH 5 00 10 Dernier Homme VM3 15 55 00
Première Femme SF 5 49 10 Dernière Femme SF 14 54 29
COMMENTAIRES
LA SAINTELYON – COURSE DE NUIT RELIANT SAINT ETIENNE A LYON –
DEPART MINUIT LE SAMEDI 6 DECEMBRE 2008 – 55ème Edition – 69km –
1300 mètres dénivelé positif – 1700 mètres de négatif – passage à 850 mètres d’altitude –
55 % routes – 45 % sur sentiers – 7 ravitaillements
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Départ Palais des expositions de Saint Etienne - Arrivée Palais des Sports de Lyon
Les points clés et les principales difficultés du parcours :
La sortie de Saint Etienne :
7 km de bitume sur lesquels il ne faut pas emballer la machine.
A partir de Sorbiers : la longue montée jusqu’au km20, très pentue entre les 6 & 9 km et à la sortie
de Saint Christo. Les chemins, peu techniques, sont très gras…
La descente sur Sainte Catherine : (5km environ) !, piégeuse
doit être appréhendée avec calme et maîtrise.
doit être appréhendée avec calme et maîtrise.La remontée après Sainte Catherine : (2km) assez sèche.
La descente du bois d’Arfeuille : 2km bien techniques suivis immédiatement d’une belle remontée jusqu’à Saint-Genoux, où déjà on enregistre les premières défaillances…
La longue descente sur Soucieu en Jarrest principalement sur bitume, cassante et usante.
Le passage du Garon descente et remontée techniques et glissantes entre le 46ème et le 50ème km.
La fameuse côte des Acqueducs de Beaunant (sublime ouvrage gallo romain) au km58, à 10km de l’arrivée : 1,5km dont un passage à plus de 20%. (ça passe ou ça casse !)
Après la traversée de Sainte Foy : la descente finale sur Lyon (quelques descentes raides et escaliers qui font mal aux jambes !) et les derniers km, quasiment plats, mais qui paraissent interminables aux finishers. (Il faut en garder absolument pour ce final, sinon, c’est un cauchemar).
(Il faut en garder absolument pour ce final, sinon, c’est un cauchemar).La principale difficulté du parcours n’est pas le dénivelé, mais bien le terrain boueux que nous avons rencontré tout au long du parcours, ce qui fait travailler les jambes de façon inhabituelle.
Un trail à faire au moins une fois, pour sa popularité, son ambiance,
et son organisation bien rôdée puisque c’est la 55ème édition, mais beaucoup de monde tout de même sur le parcours (4500 partants sur le 69km),
et son organisation bien rôdée puisque c’est la 55ème édition, mais beaucoup de monde tout de même sur le parcours (4500 partants sur le 69km),(1000 abandons) - Il y a également la possibilité de le faire en par équipe : 2, 3 ou 4 coureurs – puis aussi en randonnée pédestre. (d’où 9500 inscrits au total).
Nous étions un groupe de 12 personnes et avons tous terminés bien contents, malgré le monde et les conditions du parcours ; pour bon nombre de mes amis c’était une première pour une telle distance, mais tout s’est déroulé dans la bonne humeur, et tout le monde est fin prêt pour recommencer … bientôt.
Christian